1 mai 2007
C'était avant que Brest ne s'appelle Brest.
Poétiser sa ville, c'est plonger dans la beauté de sa noirceur. Pénétrer au cœur du désespoir, juste là où cela fait mal. Baignés du noir de notre sang noir, nous vivons nos tristesses pour mieux nous connaître, nous y repaire, juste pour connaître l'espoir....