Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le Paradis ! sinon rien !
24 janvier 2006

Quand c'est beaucoup trop, c'est boc'outreau...

Quand c'est beaucoup trop, c'est boc'outreau.

Qu'arrive-t-il à nos diplômés investis de fonctions d'importance

lorsqu'ils s'aperçoivent qu'ils sont face à des difficultés délicates ?

Une tétanisation les rend incapables du moindre changement de cap.

Nos marins, nos montagnards n'hésitent pas une seconde à reconsidérer leur position.

Devant l'adversité, ils sont humbles.

Nous savons bien, tous, qu'il n'y a que des imbéciles qui ne changent pas d'avis.

Nous ne pensons pas vraiment qu'ils existent mais qu'il n'y a que des situations imbéciles.

L'honneur de l'humanité est de les repérer, de les confronter et de les combattre.

"On t'accompagnera si tu trouves ta route", disait le poète Eugène Guivellic, disparu depuis peu.

Dans la difficulté et l'adversité, il ne faut pas hésiter à demander de l'aide, la route n'est pas si loin.

A qui, me direz-vous ? C'est bien là, la difficulté.

Une hiérarchie n'est pas là pour se faire craindre mais pour guider, accompagner et encourager.

Le guide a manqué et c'est boc'outreau.

Quel gâchis et quelle misère.

Regardons la nature, elle n'est que courbes.

Evitons les lignes trop droites et les raccourcis inutiles.

Essayons de réparer le "trop".

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité
Le Paradis ! sinon rien !
Derniers commentaires
Archives
Publicité