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Le Paradis ! sinon rien !
21 décembre 2015

« Deux fois plus d’élèves dans le privé en Bretagne qu’en France ».

Les élections régionales chamboulent tout.

Il est vrai aussi que de "Charlie", nous sommes passés "Charlot".

Quelle année ! 

Veuillez trouver une chronique suit à un article paru dans

le Télégramme de Brest du mercredi 12 décembre 2015.

 

Messieurs les journalistes,

Par le truchement d’Internet, vous nous proposez de découvrir

le nouveau service nommé « Dataspot ».

Fort intéressant car des dossiers bien documentés nous éloignent

du tournoi de fléchettes à Plougastel-Dallas.

Stupéfaction toutefois lorsque vous titrez un dossier du mercredi 12 décembre 2015 :

« Deux fois plus d’élèves dans le privé en Bretagne qu’en France ».

 

Qu’est-ce que cela veut dire ? Ou avez-vous trouvé ce mot de « Bretagne »

qui n’existe plus depuis 1532 ? Regardez bien dans vos archives.

Ce nom de « Bretagne » fut mis au goût du jour par nos offices de tourisme auprès

de journalistes parisiens qui utilisaient trop souvent l’expression : « A Paris et en Province ».

Depuis, « Bretagne » fait partie de nos contes et légendes, en bonne place.

 Voulant se racheter, ils écrivent volontiers : « A Paris et en France ».

Il nous arrive de les entendre parler d’ Ile de France. Seule région accaparant ce nom de France dédié à tous.

. Sont-ils « Ile de Français et Ile de Françaises » ?

Si, d’aventure, vous apprenez que la Bretagne existe bien par elle-même, soyez aimables

de bien vouloir nous le faire savoir sans délai.

Ce jour là, nous pourrons dire ! « La Bretagne est à l’Ouest et la France sur la page d’à côté ».

Votre article prendra ainsi toute sa force.

Cordialement.

 

Effectifs scolaires. Deux fois plus d'élèves dans le privé en Bretagne qu'en France

2 décembre 2015 à 09h26

L'augmentation des effectifs dans l'enseignement privé a-t-elle pour cause le faible nombre de ses écoles passées à la semaine de quatre jours et demi ? Les responsables diocésains ne semblent pas croire à cette explication. Ils minimisent en tout cas le phénomène, il est vrai, difficile à vérifier [Analyse]. La tendance est lourde : la part des élèves inscrits dans des établissements privés dans la région est plus de deux fois supérieure à la moyenne nationale qui dépasse à peine les 16 %.

 

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